MANUELS SCOLAIRES

ENSEIGNEMENT DE TSHILUBA, 3ÈME ANNÉE, OPTION HUMANITÉS PÉDAGOGIQUES

Edition 2025 / Enseignement primaire, secondaire et technique en RDC

 

 

Préliminaires

1. Contexte et positionnement de la 3ᵉ année

La troisième année constitue le palier de consolidation des compétences linguistiques et didactiques de l’élève-maître. Le programme est conçu pour le faire passer d’un utilisateur compétent à un praticien réflexif, capable d’analyser la langue Tshiluba avec une profondeur critique et de concevoir des stratégies d’enseignement innovantes. Mmuaka wa kuikisha mayele onso, bua mulongi ikale pabuipi bua kulua mulongeshi muimpe.

2. Objectifs linguistiques et disciplinaires

Les objectifs visent une maîtrise quasi-experte de la langue, incluant la compréhension des registres de langue, l’analyse stylistique et la production de discours argumentatifs élaborés. Sur le plan disciplinaire, l’élève-maître doit pouvoir intégrer l’enseignement du Tshiluba à d’autres matières et utiliser la langue comme un outil d’éveil critique et citoyen. Tshipatshila ntshia kufikisha mulongi ku dimanya dia likke dia muakulu ne didiga.

3. Cadre normatif et alignement SSEF 2016-2025

Ce curriculum s’inscrit dans la continuité des directives de la Loi-cadre n°14/004 et de la Stratégie Sectorielle de l’Éducation (SSEF). Il opérationnalise la vision d’un enseignement qui valorise les langues nationales comme fondement d’une éducation de qualité et comme vecteur de la culture et de l’identité congolaises.

4. Méthodologie APS et alternance codique

L’Approche Par les Situations (APS) est mobilisée pour des scénarios complexes, exigeant de l’élève une analyse fine et la mobilisation de compétences multiples (par exemple, la médiation d’un conflit foncier à Tshikapa en utilisant le registre de langue approprié). L’alternance codique est abordée comme une compétence stratégique à maîtriser, permettant de naviguer avec aisance entre le Tshiluba et le français dans un contexte pédagogique.

 

 

Partie I – Maîtrise approfondie du système écrit ✍️

Chapitre 1 – Variantes orthographiques et normes

1.1. Graphies historiques vs standardisées

Cette section examine l’évolution de l’orthographe du Tshiluba, en comparant les graphies utilisées dans les textes anciens (missionnaires, administratifs) à la norme standardisée actuelle. Les élèves apprennent à reconnaître ces variantes pour pouvoir exploiter des documents historiques.

1.2. Fusion et élision

L’étude se concentre sur les phénomènes de sandhi à l’écrit, c’est-à-dire la manière dont les mots se modifient à leur frontière. Les règles régissant la fusion de voyelles ou l’élision de consonnes dans l’écriture formelle sont systématisées. Malu a mudibu bafunda mêyi adi alondangana.

1.3. Diacritiques contextuels

Au-delà du simple marquage tonal, ce point explore l’utilisation des signes diacritiques pour des fonctions plus subtiles, comme la distinction d’homographes ou l’indication d’une prononciation particulière dans des contextes poétiques ou emphatiques.

1.4. Exercices de correction orthographique

Des exercices avancés de relecture et de correction sont proposés. Les élèves travaillent sur des textes contenant des erreurs orthographiques complexes, des archaïsmes ou des dialectalismes, afin d’affûter leur expertise de la norme écrite.

Chapitre 2 – Prosodie et intonation 🎤

2.1. Courbes intonatives discursives

L’analyse porte sur les schémas intonatifs qui caractérisent différents types de discours. Les élèves apprennent à identifier la courbe mélodique d’une affirmation, d’une question, d’un ordre ou d’une narration, et à la reproduire de manière appropriée.

2.2. Tonalité et pragmatique

Ce point explore comment la modulation du ton et de l’intonation peut changer radicalement le sens pragmatique d’un énoncé. Un même mot peut exprimer l’ironie, la surprise ou la colère, uniquement par la variation prosodique. Dîyi dimue didi mua kuamba malu a bungi, anu bilondeshile mudi muntu udielakaja.

2.3. Pauses et segmentation

L’importance des pauses et du rythme dans le discours oral est étudiée. Les élèves apprennent à utiliser les silences de manière stratégique pour segmenter leur discours, mettre en relief des informations importantes et maintenir l’attention de leur auditoire.

2.4. Ateliers de récitation

Des ateliers de lecture expressive et de récitation de textes (poèmes, extraits de discours) sont organisés. Ces exercices pratiques visent à développer la maîtrise consciente et contrôlée de tous les paramètres prosodiques pour une communication orale efficace et nuancée.

 

 

Partie II – Morphologie complexe 🧩

Chapitre 3 – Morphèmes flexionnels avancés

3.1. Affixes aspectuels complexes

L’étude approfondit les affixes verbaux en se concentrant sur ceux qui expriment des nuances aspectuelles fines, comme l’aspect itératif (action répétée), duratif (action qui dure) ou inchoatif (début de l’action).

3.2. Marqueurs pronominaux enclitiques

Cette section analyse les pronoms qui se greffent en fin de mot (enclitiques). Leur usage, souvent pour des raisons d’emphase ou de focalisation, est examiné dans des contextes syntaxiques spécifiques. Tudi tulonga tumue tuashi tuvudija bukole bua dîyi.

3.3. Réduplication et intensification

Les différents schémas de réduplication (répétition totale ou partielle d’un radical) sont étudiés comme un procédé morphologique productif pour exprimer l’intensification (ku-endaku-endenda, marcher → déambuler) ou la distribution.

3.4. Analyse de mots complexes

Les élèves s’exercent à la segmentation et à l’analyse de mots particulièrement longs et morphologiquement denses. L’objectif est de pouvoir décomposer n’importe quel mot en ses morphèmes constitutifs et d’en expliquer la structure et le sens.

Chapitre 4 – Dérivation sémantique

4.1. Dérivation verbale et nominale

Les processus de dérivation permettant de créer des verbes à partir de noms ou d’adjectifs, et vice-versa, sont explorés. Cette compétence permet aux élèves de comprendre la flexibilité du lexique et d’enrichir activement leur vocabulaire.

4.2. Création de néologismes

Les élèves sont initiés aux principes de création de mots nouveaux (néologismes) pour répondre aux besoins de la modernité. Ils étudient les stratégies de composition et de dérivation pour nommer des concepts comme « internet » ou « changement climatique » en Tshiluba.

4.3. Calques et emprunts

Une analyse critique des emprunts lexicaux (au français, à l’anglais, au swahili) et des calques sémantiques est menée. Mêyi a ku bangenda atudi tudia, ne mushindu utudi tuashintulula. L’objectif est de comprendre leur intégration phonologique et morphologique dans le système du Tshiluba.

4.4. Atelier de formation de mots

Un atelier pratique met les élèves en situation de créativité lexicale. Face à un concept nouveau, ils doivent proposer, en groupe et de manière argumentée, un néologisme en Tshiluba respectant les règles morphologiques et sémantiques de la langue.

 

 

Partie III – Syntaxe élaborée 🔗

Chapitre 5 – Subordination multiple

5.1. Enchaînement de subordonnées

L’étude se concentre sur les phrases contenant plusieurs niveaux de subordination (une proposition subordonnée enchâssée dans une autre). Les élèves apprennent à construire et à analyser ces structures complexes, typiques du discours académique ou juridique.

5.2. Infinitives et gérondives

Les constructions utilisant des formes verbales non finies (infinitif, gérondif) en position de subordonnée sont examinées. Ces structures permettent d’alléger la syntaxe tout en conservant une grande précision sémantique.

5.3. Phrases emphatiques

Les différentes stratégies syntaxiques pour mettre en relief un élément de la phrase (focalisation, topicalisation, clivage) sont enseignées. Par exemple, comment transformer la phrase « Le léopard a chassé l’antilope dans la savane du parc de la Lomami » pour insister sur « le léopard ». Mishindu ya kukonka bualu bumue bua kumvuika mushinga wabu.

5.4. Transformations syntaxiques

Des exercices de transformation avancés permettent de manipuler ces structures complexes. Les élèves s’entraînent à passer de la voix active à la voix passive dans des phrases subordonnées, ou à reformuler une idée en utilisant différentes stratégies d’emphase.

Chapitre 6 – Cohésion et cohérence textuelle ➡️

6.1. Références anaphoriques

L’analyse porte sur les mécanismes de reprise de l’information dans un texte (anaphore). Les élèves étudient l’usage complexe des pronoms, des déterminants et des substitutions lexicales pour assurer la continuité thématique sans répétition excessive.

6.2. Connecteurs discursifs avancés

Au-delà des connecteurs logiques de base, ce point explore les articulateurs qui structurent le discours à un niveau macro : les marqueurs de reformulation, d’illustration, de digression ou de conclusion.

6.3. Transitions thématiques

Les élèves apprennent à gérer les transitions entre les différentes parties ou les différents paragraphes d’un texte long. Mushindu wa kuluabuja meji a mushinji mu mukanda. L’accent est mis sur les techniques permettant d’assurer une progression fluide et logique de la pensée.

6.4. Analyse de textes longs

Pour mettre en pratique ces notions, les élèves analysent la structure et les mécanismes de cohésion de textes longs et complexes, comme un chapitre de livre, un discours politique ou un essai académique.

 

 

Partie IV – Lexique spécialisé 🔬

Chapitre 7 – Vocabulaire scientifique

7.1. Terminologie biologique et géographique

Un lexique spécialisé est développé pour décrire les écosystèmes, la faune et la flore de la RDC (par exemple, les termes pour décrire la forêt dense du Maniema ou la savane du Kasaï), ainsi que les concepts de base de la géographie physique.

7.2. Lexique mathématique et technique

Les termes fondamentaux pour l’enseignement des mathématiques (géométrie, algèbre) et de la technologie sont introduits et systématisés, afin que le futur enseignant puisse expliquer ces concepts entièrement en Tshiluba.

7.3. Termes administratifs approfondis

Le vocabulaire de l’administration, de la justice et de l’économie est approfondi. Les élèves se familiarisent avec la terminologie précise des documents officiels et des débats publics. Mêyi a mu mikanda ya mbulamatadi ne ya malu a masaku.

7.4. Ateliers de classification

Des ateliers thématiques permettent aux élèves de s’approprier ce lexique spécialisé de manière active, en créant des dictionnaires terminologiques, des bases de données ou des cartes conceptuelles pour chaque domaine.

Chapitre 8 – Style et registres 🎨

8.1. Registre formel vs informel

Les différences lexicales, syntaxiques et prosodiques entre le registre soutenu (discours officiel, écrit académique) et le registre informel (conversation quotidienne) sont analysées en détail.

8.2. Figures de style et rhétorique

Les élèves apprennent à identifier et à analyser les figures de style (métaphores, métonymies, hyperboles) dans des textes littéraires ou des discours. Malu a kunengeshisha miaku. Ils sont également initiés aux bases de la rhétorique Tshiluba.

8.3. Variations dialectales

Une introduction à la sociolinguistique et à la dialectologie du Tshiluba est proposée. Les élèves étudient les principales variations phonétiques, lexicales et morphosyntaxiques entre les parlers des différentes régions (ex: Kasaï-Oriental vs Kasaï-Central).

8.4. Exercices de reformulation

Des exercices de reformulation (transposition) sont menés. Les élèves s’entraînent à passer un texte d’un registre à un autre, ou à « traduire » un énoncé d’une variante dialectale à la langue standard, développant ainsi leur flexibilité stylistique.

 

 

Partie V – Compréhension critique 🧐

Chapitre 9 – Analyse de discours

9.1. Discours argumentatif complexe

Les élèves sont formés à l’analyse critique de discours argumentatifs élaborés (éditoriaux, plaidoyers). L’objectif est de déconstruire la stratégie de l’auteur, d’évaluer la validité des arguments et d’identifier les procédés rhétoriques de persuasion.

9.2. Discours narratif étendu

L’analyse de textes narratifs longs (nouvelles, extraits de romans) est pratiquée. L’accent est mis sur l’étude de la structure narrative complexe, du développement psychologique des personnages et de la polyphonie (présence de plusieurs voix).

9.3. Texte poétique et symbolisme

Ce point se concentre sur l’interprétation de la poésie Tshiluba moderne et traditionnelle. Les élèves apprennent à analyser le langage symbolique, les images poétiques et les réseaux sémantiques pour accéder aux significations profondes du texte. Kumvua malu masokome mu bishima.

9.4. Fiches d’analyse détaillées

Des fiches-guides très structurées sont utilisées pour encadrer l’analyse de discours. Elles aident les élèves à systématiser leur démarche critique en passant en revue tous les aspects du texte : contexte, structure, style, argumentation, idéologie.

Chapitre 10 – Production écrite experte ✒️

10.1. Rédaction d’essais argumentatifs

Les élèves sont amenés à produire des essais argumentatifs complets sur des sujets de société. Ils doivent être capables de formuler une problématique, de développer une argumentation structurée et nuancée, et de conclure de manière synthétique.

10.2. Rédaction de rapports et synthèses

Cette section forme les élèves à des types d’écrits fonctionnels. Ils apprennent à rédiger un rapport d’observation (par exemple, sur une pratique agricole à Gandajika) ou à synthétiser plusieurs documents pour en présenter les idées principales de manière objective.

10.3. Techniques de relecture avancée

Les techniques d’auto-correction sont perfectionnées. Les élèves apprennent à utiliser des grilles de relecture multicritères pour évaluer la cohérence globale, la pertinence de l’argumentation, la correction de la langue et la qualité du style de leurs propres productions.

10.4. Portfolio de travaux écrits

La constitution d’un portfolio final permet à chaque élève de présenter une sélection de ses meilleures productions écrites. Ce dossier témoigne de sa maîtrise des différents genres discursifs et de sa capacité à produire des écrits de niveau expert. Mukanda wa mikanda yonso mimpe mufunda kudi mulongi.

 

 

Partie VI – Didactique bilingue avancée 🇨🇩🇫🇷

Chapitre 11 – Conception de séquences intégrées

11.1. Modules franco-tshiluba interdisciplinaires

Les élèves-maîtres apprennent à concevoir des séquences d’enseignement qui intègrent plusieurs disciplines (par exemple, un projet sur l’eau qui mobilise des compétences en biologie, géographie et instruction civique) en utilisant stratégiquement le Tshiluba et le français.

11.2. Activités d’immersion prolongée

Des stratégies pour organiser des journées ou des semaines d’immersion thématique en Tshiluba sont explorées. Ces projets permettent de créer un environnement linguistique riche et stimulant pour les futurs élèves du primaire.

11.3. Outils numériques et multimodaux

L’utilisation des technologies de l’information (enregistrements audio/vidéo, logiciels simples) pour créer des supports pédagogiques bilingues est introduite. Les élèves apprennent à produire des contenus multimodaux pour dynamiser leur enseignement.

11.4. Évaluation bilinguistique

Ce point aborde les méthodes d’évaluation des compétences dans un contexte bilingue. Les élèves apprennent à concevoir des épreuves qui mesurent la capacité à transférer les savoirs d’une langue à l’autre. Kutàshinga mudimu mu miakulu ibidi.

Chapitre 12 – Évaluation certificative 🎓

12.1. Grilles d’épreuve écrite

Les grilles d’évaluation pour l’examen final écrit sont présentées et expliquées. Elles détaillent les critères de notation pour l’essai, la synthèse de documents et l’analyse de texte, assurant une correction transparente et standardisée.

12.2. Épreuve orale et écoute

Les modalités de l’épreuve orale (exposé suivi d’un entretien) et de l’épreuve de compréhension à l’audition sont définies. Les élèves sont préparés aux types de supports et de questions qu’ils rencontreront.

12.3. Critères de notation standardisés

L’ensemble des critères de notation pour l’examen certificatif est harmonisé au niveau national. L’objectif est de garantir que l’évaluation soit équitable et que le niveau de maîtrise attesté par le diplôme soit le même sur tout le territoire.

12.4. Simulation d’examen

Une ou plusieurs sessions d’examen blanc sont organisées dans les conditions réelles de l’épreuve certificative. Cette simulation permet aux élèves de se familiariser avec le format, de gérer leur temps et de réduire le stress lié à l’examen final.

 

 

Partie VII – Enracinement culturel et formation 🌳

Chapitre 13 – Patrimoine et identité

13.1. Œuvres et auteurs tshiluba

Une introduction à la littérature écrite en Tshiluba est proposée, avec l’étude d’œuvres et d’auteurs marquants. Cela permet de positionner la langue comme un outil de création littéraire à part entière.

13.2. Musique et chants traditionnels

L’analyse des paroles de chants traditionnels et modernes de l’espace Luba est utilisée comme support pour l’étude de la langue et de la culture. Les thèmes, le vocabulaire poétique et les structures rythmiques sont explorés. Kumvua meji a mu misambu ya kuetu.

13.3. Patrimoine immatériel provincial

Les élèves sont invités à mener des projets de recherche sur des éléments du patrimoine immatériel de leur province (savoir-faire artisanaux, traditions orales, pratiques sociales). Ce travail de terrain renforce leur lien avec leur milieu.

13.4. Projets de valorisation

En synthèse, les élèves conçoivent et mettent en œuvre un projet collectif de valorisation du patrimoine linguistique et culturel local (par exemple, la création d’un petit lexique illustré des plantes médicinales de la région de Mwene-Ditu).

Chapitre 14 – Développement professionnel continu 📈

14.1. Ateliers d’innovation pédagogique

Des ateliers sont consacrés à la découverte et à l’expérimentation de nouvelles approches pédagogiques (classe inversée, pédagogie de projet), en les adaptant au contexte de l’enseignement en Tshiluba.

14.2. Communautés de pratique

Les élèves sont initiés au concept de communauté de pratique et encouragés à former des réseaux professionnels pour échanger, s’entraider et continuer à se former mutuellement une fois entrés dans le métier. Kuenza kasumbu ka balami bua kukuatshangana.

14.3. Suivi et mentorat en salle

Les principes du mentorat entre pairs et du suivi post-formation sont abordés. Les futurs enseignants apprennent comment observer un collègue de manière constructive et comment bénéficier d’un accompagnement pour leurs premières années de pratique.

14.4. Plans de formation individualisés

Chaque élève termine son parcours en élaborant un plan de développement professionnel personnel. Il y identifie ses points forts, ses axes de progression prioritaires et les actions de formation continue qu’il envisage pour sa future carrière.

 

 

Annexes

Annexe A – Bibliographie spécialisée et sources officielles 📚

Cette annexe fournit une bibliographie de haut niveau, incluant des articles de recherche en linguistique bantoue, des études sociolinguistiques sur le Tshiluba et des liens vers les textes officiels et les rapports nationaux sur la politique éducative et linguistique.

Annexe B – Modèles de grilles de suivi et d’évaluation 📋

Une collection d’outils d’évaluation et de suivi complexes est proposée, incluant des grilles pour l’évaluation de compétences didactiques en situation, des modèles de rapports de stage et des fiches pour l’analyse réflexive de la pratique enseignante.

Annexe C – Lexique avancé de linguistique appliquée 🔍

Ce lexique définit des termes techniques de linguistique, de sociolinguistique et de didactique des langues de niveau universitaire. Mukanda wa miaku ya meji a mushinji ya ndongeshelu. Il constitue une ressource de référence pour les enseignants souhaitant poursuivre une formation approfondie ou s’engager dans la recherche en éducation.

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